dimanche 9 janvier 2011

La violence et la douleur

{26/12/2010}

– Que peuvent dire les mères qui ont perdu leurs enfants par la violence? Être celui qui a vu son fils tué, ou celui qui a vu son fils devenir un assassin dans un moment de folie? Que peuvent dire les familles qui ont été détruits par cette tragédie et aussi par cette tragédie mondiale appellée atteinte contre la vie? Pourquoi comprendre la violence si elle n’a apparemment pas de sens et si cette compréhension n'apporte pas la paix? La guerre est une forme plus rationelle de la perte de la vie? La compréhension que les conflits existent grâce à un but individuel ou collectif, peut calmer les vicissitudes du cœur? Et les drames causés par la toxicomanie? Vivre avec le corps et les esprits détruits, les familles deviennent otages de leurs proches, qui se sont perdu dans la drogue?

Dans les sombres jours de violence, où les disparités économiques, la fausse liberté démocratique, le manque d'accès à l'éducation pour les individus, la lutte pour la survie, pour démarrer une société avec un peu de dignité, a fait de l’homme des impurs et sans rationalité. Les valeurs sont tombées, et la sauvagerie a régné. L'idée de représailles a cassé les bonnes intentions de l'humanité en évolution. L’idée: «Tu ne tueras pas toi-même, ni personnes, est tombée dans l'oubli.

Mais certaines voix se sont élevées et ont appellé à qui voulait l'entendre: Ne tuez pas par les mots, ne tuez pas avec des actions mesquines, ne tuez pas avec des coups, de couteau, des armes mortelles! Ne tuez pas par la pensée (soyez vigiant!) car ils appartiennent tous à la barbarie. Et tandis que les hommes incultes ne prennent pas une décision finale dans leur cœur, cette tragédie humaine va se répéter. Et il n'y a pas de guerison pour la douleur.

- Quand l'homme arrivera t’il dans un niveau d'auto-protection et de vérité que le liberera de la douleur? Il faut vraiment apprendre à pardonner. Faire un effort énorme pour monter à ce niveau de conscience, et pour atteindre la paix intérieure pour vous et pour les autres. {058 chronique}






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