samedi 10 novembre 2007

“Propreté”

[29/09/2013 – Dimanche] Voici une description des aspects extérieurs de la planète, la Sainte Étoile de la Liberation, pendant l’année de la propreté. Les corps subtilisés, dépouillés de la densité des humains évolutifs antérieurs, signalent de nouvelles sensations: le toucher, de notions de volume etc. Tout le monde est assez altéré, en train de récupérer les sens oubliés. Les termes ici utilisés correspondent à la matière similaire, mais plus légère de « l’ancienne planète terre ». Le pas est décrit comme un toucher léger, cela du à la différence radicale de la pression atmosphérique. On peut le décrire comme un toucher de coton, et ainsi de suite. Le changement de la forme de vie n’élimine pas l’ensemble de concepts, bien au contraire, ces derniers seront utilisés de façon libre jusqu’à incorporer un nouveau langage, basé sur l’expérience actuelle. L’oeil n’aperçoit jusqu’à l’horizon que de nouvelles immenses étendues. De nouveaux lacs émergeront. Après de profondes modifications dans la croûte terrestre on ne peut pas encore évaluer la portée du changement. Aux reportages d’un chaos climatique profond qui entraîna des tremblements de terre, des raz de marée, des volcans, des incendies et d’autres phénomènes de proportions gigantesques, le calme suivit. [Entrée 3]

{07/10/2007 - Dimanche} «Dans ma Vérité, le jour et la nuit sont Un, au-dessus et au dessous sont Un, dedans et dehors sont Un, hier et demain sont aujourd’hui, Ici et Maintenant pour Être, simplement pour Être». – Et si j’étais en train de te prévenir que la rencontre a etée prédite ? Que la création du Père, chez Lui doit se fusionner et ainsi Re-Créer l’expansion de Son Univers ? Il s’agit d’une grande idée, n’est-ce pas ? Un grand renouvellement est implicite, n’est-ce pas ? Pourquoi persistons-nous à continuer une non-existence lorsque toute l’Existence nous attend ? Le danger principal de la matière est l’illusion de son existence temporaire. Et les esprit immatures s’accrochent encore à cette idée, pour la crainte de l’extinction. Elles n’arrivent pas à apercevoir une « réalité » qui ne soit pas palpable, visible. Une ville, existe-t-elle grâce à ses édifices et à ses boulevards ? Ou bien grâce à l’idée de ville qu’elle contient ? Comment Dom Bosco pouvait-il voir autant de chance là où encore rien n’existait au-delà des champs incultivés ? Allons à la rencontre de la plus grande inspiration de l’humanité, sa plus grande richesse: évoluer l’Être, en sautant si nécessaire. Un changement qui est implanté dans nos coeurs, l’appel le plus fervant que l’homme ait jamais fait jusqu’à présent. Se voir en pleine Lumière et Gloire! {Chronique 142}