{03/05/2009} Les nouvelles de folie, de carnage, de fusillades – des individus en tuant d’autres - se succédaient dans la presse. Des enfants innocents étaient persécutés et violentés. Jamais on n’avait vu pareille sauvagerie envers nos petits frères. Les âmes se contractaient. Et la religion superficielle se répandait, vertigineusement.
Ils étaient des milliards à prier sans arrêt et à entonner des cantiques, dans les églises les plus diverses. Les chants de louange sont entrés dans le système commercial et commençaient à se transformer en pollution sonore pour les oreilles. Les âmes, délaissées, perdaient courage avec tout ce bruit! Partout, on entendait parler de Dieu, de Jésus, mais les actions qui auraient dû être d’amour (et silencieuses) étaient accaparées par l’égo, elles en venaient à faire la une des journaux et des programmes télévisés.
Pendant ce temps, les enfants nés dans ce millénaire, sous l’égide de l’Ère du Verseau, commençaient discrètement à se distinguer : ils voyaient le jour doués d’esprit pratique. Ils apportaient avec eux l’amour fraternel et savaient comment le manifester. Ils prenaient les opportunités à bras le corps et s’engageaient dans de petites actions : prendre soin de la vie, de son prochain et de l’environnement. Ils souriaient, même au milieu des difficultés et de la misère. {Chronique 101}
Ils étaient des milliards à prier sans arrêt et à entonner des cantiques, dans les églises les plus diverses. Les chants de louange sont entrés dans le système commercial et commençaient à se transformer en pollution sonore pour les oreilles. Les âmes, délaissées, perdaient courage avec tout ce bruit! Partout, on entendait parler de Dieu, de Jésus, mais les actions qui auraient dû être d’amour (et silencieuses) étaient accaparées par l’égo, elles en venaient à faire la une des journaux et des programmes télévisés.
Pendant ce temps, les enfants nés dans ce millénaire, sous l’égide de l’Ère du Verseau, commençaient discrètement à se distinguer : ils voyaient le jour doués d’esprit pratique. Ils apportaient avec eux l’amour fraternel et savaient comment le manifester. Ils prenaient les opportunités à bras le corps et s’engageaient dans de petites actions : prendre soin de la vie, de son prochain et de l’environnement. Ils souriaient, même au milieu des difficultés et de la misère. {Chronique 101}
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