{05/04/2009}
- Comment découvrir le sens de la vie au milieu du mécanicisme de la vie quotidienne ?
La vie au jour le jour, accaparée par le “besoin” de travailler, d’étudier, d’acheter, de manger, de dormir, de faire de l’exercice, ajouté à l’anxiété, consommait tout et tout le monde. Le sens du service rendu s’était perdu, tout comme celui du mouvement évolutif, de l’œuvre cosmique, de la conquête d’un dessein, de la forteresse ascendante, de l’accomplissement de la victoire !
- Comment retrouver la valeur réelle de la Beauté, de la Bonté, de la Sagesse, au milieu de la profusion des offres d’achat facile ? Comment approfondir le sens de la véritable Charité ? Comment se rapprocher de la Justice maximale ?
Les masses continuaient à être poussées vers des écoles militaristes qui les rendaient incapables, leurs bras vers les travaux forcés et esclavagistes, leurs sentiments vers les plaisirs faciles et les rêves mensongers. Les bonnes intentions finissaient en enfer, là où gouvernait le Dieu-argent, et le plus grand défi était de sortir de l’inertie pour agir avec conscience. Et ils étaient peu à avoir l’énergie de le faire. Il était plus facile de parler, de se plaindre, de s’emporter contre tout et tous, puis de s’endormir. La tâche que les éveillés devaient accomplir était gigantesque ! {Chronique 103}
La vie au jour le jour, accaparée par le “besoin” de travailler, d’étudier, d’acheter, de manger, de dormir, de faire de l’exercice, ajouté à l’anxiété, consommait tout et tout le monde. Le sens du service rendu s’était perdu, tout comme celui du mouvement évolutif, de l’œuvre cosmique, de la conquête d’un dessein, de la forteresse ascendante, de l’accomplissement de la victoire !
- Comment retrouver la valeur réelle de la Beauté, de la Bonté, de la Sagesse, au milieu de la profusion des offres d’achat facile ? Comment approfondir le sens de la véritable Charité ? Comment se rapprocher de la Justice maximale ?
Les masses continuaient à être poussées vers des écoles militaristes qui les rendaient incapables, leurs bras vers les travaux forcés et esclavagistes, leurs sentiments vers les plaisirs faciles et les rêves mensongers. Les bonnes intentions finissaient en enfer, là où gouvernait le Dieu-argent, et le plus grand défi était de sortir de l’inertie pour agir avec conscience. Et ils étaient peu à avoir l’énergie de le faire. Il était plus facile de parler, de se plaindre, de s’emporter contre tout et tous, puis de s’endormir. La tâche que les éveillés devaient accomplir était gigantesque ! {Chronique 103}
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